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Typologie et fonctionnement des manchonsdes moulins rotatifs manuelsdurant le deuxième âge du Fer et le Haut-Empire

ÉVOLUTION TYPOLOGIQUE ET TECHNIQUE DES MEULES DU NEOLITHIQUE A L’AN MILLE

TYPOLOGIE ET FONCTIONNEMENT DES MANCHONSDES MOULINS ROTATIFS MANUELSDURANT LE DEUXIEME AGE DU FER ET LE HAUT-EMPIRE

Florent Jodry, Luc Jaccottey, Boris Robin, Paul Picavet, Alain-Gilles Chaussat

Globalement, l’entrainement de la meule tournante ma-nuelle se fait au moyen d’un manche fiché dans un manchonmédian aménagé sur le flanc de la pièce, coincé ou non par unegoupille. Cependant des variations peuvent apparaitre menantà des types régionaux comme l’insertion de tige métalliquerencontrée en région Alsace. À ce premier type répond un deuxième, ouvert sur la sur-face supérieure en bordure de réceptacle, rencontré sous laforme d’encoches ou de cavités verticales.Bien que d’aspect élémentaire le problème des manchonsdes meules tournantes manuelles nous renvoie à deux débats majeurs : l’un illustré par les types de perforations (in-fluences, standardisations) et leur nombre et l’autre, par lemode d’entrainement des catillus avec comme corollaire laplace qu’occupe le moulin dans l’habitat. À la lumière d’un corpus fort de plus de 200 meules, issuesde la base de donnée nationale, réparties chronologiquemententre La Tène et le Haut Empire, nous tenterons d’apporterdes éléments de réponse à l’étude des équipements techniques du moulin rotatif manuel

A lire : https://www.academia.edu/1452856/Typologie_et_fonctionnement_des_manchons_des_moulins_rotatifs_manuels_durant_le_deuxi%C3%A8me_%C3%A2ge_du_fer_et_le_Haut_Empire

  

 
nuelle se fait au moyen d’un manche fiché dans un manchonmédian aménagé sur le flanc de la pièce, coincé ou non par unegoupille. Cependant des variations peuvent apparaitre menantà des types régionaux comme l’insertion de tige métalliquerencontrée en région Alsace. À ce premier type répond un deuxième, ouvert sur la sur-face supérieure en bordure de réceptacle, rencontré sous laforme d’encoches ou de cavités verticales.Bien que d’aspect élémentaire le problème des manchonsdes meules tournantes manuelles nous renvoie à deux débats majeurs : l’un illustré par les types de perforations (in-fluences, standardisations) et leur nombre et l’autre, par lemode d’entrainement des catillus avec comme corollaire laplace qu’occupe le moulin dans l’habitat. À la lumière d’un corpus fort de plus de 200 meules, issuesde la base de donnée nationale, réparties chronologiquemententre La Tène et le Haut Empire, nous tenterons d’apporterdes éléments de réponse à l’étude des équipements techniquesdu moulin rotatif manuel